Quelle est la différence entre le Raid 28 et l'Orcéenne, hein ?
Après une nième sortie à faire le yoyo dans le bois de la Guyonnerie, j'ai enfin trouvé la réponse (accessoirement, la question aussi) :
le balisage.
En hiver, place à l'équipe Turoom, transie de froid et particulièrement avare en matière de rubalise dispose ses balises à des endroits franchement pas commodes, qu'on se demanderait presque s'ils ne le font pas un peu exprès. Accessoirement, ça fait la joie des bénévoles le lendemain pour retrouver tous les rectangles en tole :
(Question bonus : c'est quelle édition ?)
Au Printemps, le bois de la Guyonnerie se tranforme en vaste arbre de Noël avec ses farandoles de rubalise pour permettre sans doute à des mal voyants de participer en gardant la main courante tout au long de la course. Et comme chaque année, le débalisage n'est que très partiellement réalisé.
2013 bats de tristes records comme en témoigne la photo ci-joint avec ce que j'ai collecté sur mon parcours de retour. Ce n'est qu'une partie de mon butin, le reste ayant été déposé dans les poubelles de la Fac, il parait que ça sert à ça.
Il y avait tellement de rubalise Mercredi dernier que j'ai eu un doute affreux : n'étais-je pas en train de débaliser une épreuve qui allait se dérouler ? Mais non, fidèle à sa mauvaise habitude le comité d'organisation a arrêté la logistique à la remise des trophées.
Ben désolé les gars, mais ça suffit pas et franchement j'en ai ras le bol de passer derrière vous chaque année. Idem pour les agités de la bombe de peinture, pas la peine d'en mettre partout, j'imagine mal quelqu'un se perdant sur le parcours.
Voilà pour le coup de gueule.
Fred.