Compte rendu aussi rapide que son temps (3h17), voici rien que pour vous les impressions à chaud d'E.T. (Eric Tranvouez pour les intimes) du marathon of London.
GO JOHNNY GO !
En ce dimanche matin, La charmante prairie de Greenwich peut faire penser à une sympathique course communale où chacun se prélasse en attendant l’heure du départ. Une fois dans le sas, le sosie de Johnny Roten à mes côté, flanqué de son tee-shirt orange « Go Johnny go » réveille mes sens. Goo…oood morning London. Un départ de Marathon est généralement émouvant ou grandiose, les hélicoptères de New-York, la cornemuse au Mont Saint Michel et ici… pouf voilà on part. Bon on fera avec. Sacrés Anglais, ce n’était qu’une mise en jambe pour atteindre la VRAI ligne. Le voilà le big portique Rouge à l’effigie de Virgin. Le speaker annonce le nom des élites sous les clameurs des participants : Kipsang, Farah… la température monte de quelques degrés, eh oui ce n’est pas tous les jours que l’on court avec un recordman du monde. Et puis le silence et puis la sono lance des coups de basses imitant le battement du cœur. Fu.. English ça c’est du départ, les poils se hérissent (maintenant on connait l’origine de la coupe punk), les spectateurs scandent Ten…..three, two, one et Go Johnny go…
Le récit s’arrête ici car l’ambiance devient indescriptible et c’est une sensation qu’il faut vivre : vous entrez dans une « théière bien chaude » remplie de milliers de « come on guys ».
Prochaine date : 26 avril 2015…